3-September-2014
English, PDF, 160kb
Switzerland has high employment rates and low unemployment. The overall employment rate remained stable since the start of the crisis and stands at 79% (first quarter of 2014), the second highest in the OECD after Iceland, well above the OECD average of 65.6%. As for unemployment, among OECD countries only Japan, Korea, and Norway have lower unemployment rates.
17-juillet-2014
Français
En Suisse, les femmes ont désormais un niveau de formation égal à celui des hommes. Néanmoins, des progrès restent à accomplir sur le marché du travail où l’offre de main-d’oeuvre féminine et sa rémunération sont inférieures à celles des hommes.
26-May-2014
English, PDF, 191kb
Obesity rates are low in Switzerland, relative to most OECD countries. 9% of adults are obese in Switzerland, while nearly 38% are overweight (including obesity).
18-March-2014
English, PDF, 362kb
This note presents key findings for Switzerland from Society at a Glance 2014 - OECD Social indicators. This 2014 publication also provides a special chapter on: the crisis and its aftermath: a “stress test” for societies and for social policies.
11-février-2014
Français
23-janvier-2014
Français
19-septembre-2013
Français
Ce papier examine le secteur agricole et alimentaire suisse bien subventionné. It passe en revue plusieurs des traits marquants and des tendances sectoriels et révèle la faiblesse de la productivité relative du travail bas en comparaison internationale.
26-avril-2013
Français
23-avril-2013
Français
En Suisse, la pression fiscale est faible par comparaison avec les autres pays, ce qui s’explique dans une large mesure par l’importance des contributions obligatoires non fiscales aux systèmes de santé et de retraite qui sont gérés par des institutions privées. L’imposition des revenus des personnes physiques et des rémunérations du travail est relativement élevée, tandis que les impôts sur la consommation sont faibles.
23-avril-2013
Français
En Suisse, la pression fiscale est faible par comparaison avec les autres pays, ce qui s’explique dans une large mesure par l’importance des contributions obligatoires non fiscales aux systèmes de santé et de retraite qui sont gérés par des institutions privées. L’imposition des revenus des personnes physiques et des rémunérations du travail est relativement élevée, tandis que les impôts sur la consommation sont faibles.