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  • 13-October-2023

    English

    Draft Guidance and Review Documents/Monographs

    Interested parties are invited to send their comments on the Draft AOPs 173, 346 and 376 by 13 October 2023.

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  • 20-September-2023

    English, PDF, 4,784kb

    OECD work on Chemical Safety and Biosafety brochure 2021-24

    This new edition of the OECD work on Chemical Safety and Biosafety highlights the activities, results and ongoing projects as outlined by the 2021-2024 work programme.

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  • 27-July-2023

    English

    Safety Assessment of Transgenic Organisms in the Environment, Volume 10 - OECD Consensus Document on Environmental Considerations for the Release of Transgenic Plants

    Volume 10 of the Series contains the consensus document on the 'Environmental Considerations for Risk/Safety Assessment for the Release of Transgenic Plants' developed by the OECD Working Party on the Harmonisation of Regulatory Oversight in Biotechnology. Transgenic plant varieties are subject to official risk/safety assessment, science-based and case-by-case, before their potential release into the environment. The document contains general information on environmental risk/safety assessment, its key concepts, structure and planning. Annexes describe seven examples of environmental considerations routinely examined by assessors and taken from experience gained during such assessment: Invasiveness and weediness; Vertical gene flow; Organisms (animals); Soil functions; Plant health; Crop management practices; and Biodiversity (protected species and habitats/ecosystems). The purpose of this document is not to elaborate new terminology or to describe how to undertake an actual risk/safety assessment, but rather to outline an approach and provide illustrative examples for helping assessors in planning and structuring an environmental risk/safety assessment. This document should be of interest to regulators and safety assessors, as well as to plant breeders and the wider scientific community. More information, including other tools for environmental risk/safety assessment such as OECD consensus documents on the biology of crop species, are found at BioTrack Online.
  • 11-July-2023

    English

    Oxidative DNA damage leading to chromosomal aberrations and mutations

    This Adverse Outcome Pathway (AOP) describes the linkage between oxidative DNA damage and irreversible genomic damage (chromosomal aberrations and mutations). DNA damage is considered an important contributor to the adverse health effects of many environmental toxicants and this AOP may thus be of widespread use to the regulatory community. Although increase in oxidative DNA damage is the molecular initiating event for this AOP, there are numerous upstream key events that can also lead to DNA oxidation. Thus, this AOP may be expanded upstream, and could be incorporated into a variety of AOP networks. Furthermore, the AOP points to critical research gaps required to establish the quantitative associations and modulating factors that connect KEs across the AOP, and highlights the utility of novel test methods in understanding and evaluating the implications of oxidative DNA damage. This AOP is referred to as AOP 296 in the Collaborative Adverse Outcome Pathway Wiki (AOP-Wiki).
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 405 : Effet irritant/corrosif aigu sur les yeux

    Cette méthode fournit des informations sur les dangers pour la santé qui peuvent résulter de l’application d’une substance d’essai (solide ou liquide et d’aérosols) sur les yeux. Cette Ligne directrice est utilisée préférablement avec des lapins albinos. La substance d’essai est appliquée en dose unique dans le sac conjonctif d’un œil. L’autre œil, non traité, servira de contrôle. L’essai initial emploie un animal ; le niveau de dose dépend de la nature de la substance à tester. Un essai de confirmation doit être fait si un effet corrosif n’est pas observé lors de l’essai initial, la réponse irritante ou négative doit être confirmée en utilisant deux animaux supplémentaires. Il est recommandé que ce soit fait de manière séquentielle, un animal à la fois, plutôt que d’exposer les deux simultanément. La durée de l’observation doit être suffisante pour évaluer pleinement l’ampleur et la réversibilité des effets observés. Les yeux doivent être observés 1, 24, 48 et 72 heures après l’application. Les scores d'irritation oculaire doivent être évalués en conjonction avec la nature et la sévérité des lésions et leur réversibilité ou leur absence de réversibilité. L’utilisation d’anesthésiques topiques et d’analgésiques systémiques pour réduire ou éviter la douleur et la détresse dans le cadre des essais de sécurité pour l'œil est décrite.
    Also AvailableEgalement disponible(s)
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 458: Essai d'activation transcriptionnelle faisant intervenir le récepteur des androgènes humain transfecté de façon stable pour la détection de l'activité androgénique agoniste et antagoniste des produits chimiques

    Cette Ligne directrice décrit des essais in vitro d’activation transcriptionnelle faisant intervenir le récepteur à androgène (ARTA) pour la détection de l’activité androgénique agoniste et antagoniste. Ces essais ARTA sont mécanistiquement et fonctionnellement similaires et génèrent des informations sur l’activation transcriptionnelle d’un gène rapporteur suite à la liaison entre le produit chimique testé et le récepteur à androgène. Les lignées cellulaires utilisées dans ces essais expriment le récepteur à androgène et ont été transfectées de façon stable par un gène rapporteur de la luciférase lié à l’activation du récepteur à androgène ; ces lignées cellulaires sont utilisées pour identifier les produits chimiques qui activent (agonistes) ou inhibent (antagonistes) la transcription du récepteur à androgène. Certains produits chimiques peuvent, en fonction du type de lignée cellulaire, montrer à la fois une activité agoniste et antagoniste, et sont connus comme modulateurs sélectifs du récepteur à androgène. Le récepteur à androgène est activé suite à la liaison du produit chimique ; une fois cette liaison établie, le complexe récepteur-ligand subit une translocation vers le noyau où il se fixe à certains éléments de réponse de l’ADN et transactive le gène rapporteur de la luciférase, induisant une augmentation de l’expression cellulaire de l’enzyme luciférase. La luciférine est un substrat transformé par l’enzyme luciférase en produit bioluminescent mesurable quantitativement par un luminomètre. Les systèmes d’essai proposés dans cette Ligne directrice utilisent les lignées cellulaires AR-EcoScreenTM, AR-CALUX®, et 22Rv1/MMTV_GR-KO.
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 487 : Essai in vitro de micronoyaux sur cellules de mammifères

    L’essai micronoyau in vitro est un essai de génotoxicité pour la détection des micronoyaux dans le cytoplasme de cellules en interphase. Les micronoyaux peuvent provenir de fragments de chromosomes acentriques (c’est-à-dire sans centromère), ou de chromosomes entiers qui ne peuvent migrer vers les pôles pendant l’étape d’anaphase de la division cellulaire. L’essai détecte l’activité de substances d’essai clastogènes et aneugènes dans les cellules qui ont subi une division cellulaire au cours ou après l’exposition à une substance d’essai. Cette Ligne directrice prévoit l’utilisation de protocoles, avec et sans cytochalasine B (inhibiteur de polymérisation de l’actine). La cytochalasine B permet l’identification et l’analyse sélective de la fréquence des micronoyaux dans les cellules qui ont complété une mitose, ces cellules étant binucléées. La Ligne directrice permet l’utilisation de protocoles sans blocage de la cytokinèse à condition qu’il soit démontré que la population cellulaire a subi une mitose.
    Also AvailableEgalement disponible(s)
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 460 : Méthode d'essai de diffusion de fluorescéine pour identifier les substances corrosives et fortement irritantes pour l'œil

    Cette Ligne directrice décrit un essai in vitro qui peut être utilisé afin d’identifier des produits hydrosolubles corrosifs et irritants sévères de l’œil de la Catégorie 1 du Système général harmonisé de classification et d’étiquetage (SGH) de l’ONU. L’essai est réalisé dans un puits où une monocouche confluente de cellules Madin-Darby Canine Kidney (MDCK) sert de séparation entre deux chambres. Il utilise la fluorescéine comme marqueur. La substance d’essai peut détériorer les jonctions des cellules MDCK et donc d’accroître la perméabilité de la monocouche. De ce fait, la fluorescéine passe à travers la monocouche et la fuite de fluorescéine (FL) augmente. La fuite est calculée sous forme d’un pourcentage établi par référence à un contrôle à blanc et à un contrôle de fuite maximum. La concentration de la substance d’essai provoquant 20% de FL (FL20, en mg/mL) est calculée et utilisée comme modèle de prédiction pour l’identification des produits corrosifs et irritants sévères de l’œil. La valeur limite de FL20 permettant de classer les produits chimiques hydrosolubles comme corrosifs/irritants sévères de l’œil est ≤ 100mg/mL. La méthode d’essai par fuite de fluorescéine fait partie de stratégies d’essai étapes.
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 316 : Phototransformation de produits chimiques dans l'eau – Photolyse directe

    Cette Ligne directrice décrit des études de phototransformation dans l'eau afin de déterminer les effets potentiels des radiations solaires sur les produits chimiques dans les eaux de surface. Seule la photolyse directe est prise en compte. La Ligne directrice est organisée par étapes. La première étape se base sur un dépistage théorique. Dans les études de photolyse directe, la vitesse de dégradation d'une substance suit approximativement une cinétique de premier ordre. Si les pertes maximales estimées sont supérieures ou égales à 50% de la concentration initiale au bout de 30 jours, on effectue une étude expérimentale en deuxième étape. En laboratoire, les constantes de vitesse de photolyse directe des produits chimiques sont déterminées en utilisant des lampes à arc de xénon filtrées capables de simuler la lumière naturelle entre 290 et 800 nm ou des radiations solaires, et extrapolées pour simuler les conditions dans l'eau. Si les pertes estimées sont supérieures ou égales à 20%, les voies de transformation, ainsi que la nature, les concentrations, les taux de formation et de dégradation de principaux produits de transformation sont identifiés. De plus, il est possible de déterminer le rendement quantique en fonction du type d'eau, des saisons et de la latitude. La substance testée devrait être directement dissoute dans le milieu aqueux saturé en air à une concentration inférieure à la moitié de sa solubilité. Pour les étapes supérieure et finale du test, au moins 5 et 7 échantillons doivent être prélevés respectivement pour la régression des données. Le nombre exact d'échantillons ainsi que la fréquence de prélèvement sont déterminés dans des études préliminaires. Pour établir la variabilité et réduire l'incertitude de détermination, il est recommandé d'utiliser au moins deux réplicats par expérimentation.
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 491 : Méthode d'essai d'exposition de courte durée in vitro pour l'identification des produits chimiques i) provoquant des lésions oculaires graves ou ii) ne relevant d'aucune classification pour irritation oculaire ou lésion oculaire grave

    Cette Ligne directrice décrit un test d’exposition de courte durée in vitro de cytotoxicité, réalisé sur une monocouche confluente de fibroblastes de cornée de lapin du Statens Seruminstitut (SIRC), cultivés sur des plaques microtitres 96 puits. Après 5 minutes d’exposition à un produit chimique testé, on détermine quantitativement la cytotoxicité en mesurant, à l’aide du test MTT, la viabilité relative des cellules SIRC. L’observation d’une diminution de la viabilité cellulaire est utilisée pour prédire les effets indésirables potentiels pouvant provoquer des lésions oculaires. La viabilité cellulaire est évaluée par un dosage quantitatif des cristaux de formazan bleu extraits des cellules et produits par les cellules vivantes lors de la conversion enzymatique du colorant vital MTT, encore appelé Bleu de thiazol. La viabilité cellulaire observée est comparée à celle du témoin avec solvant (viabilité relative) et utilisée comme estimation du danger potentiel pour les yeux que présente le produit chimique testé. Les produits chimiques testés sont classés dans la catégorie 1 du SGH de l’ONU lorsqu’une viabilité cellulaire inférieure ou égale à (≤) 70% est observée aux deux concentrations testées (5 % et 0.05 %). À l’inverse, les produits chimiques pour lesquels la viabilité cellulaire est supérieure à (>) 70 % aux deux concentrations testées (5 % et 0.05 %) sont classés « sans catégorie » selon le système SGH.
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