L'impact sur la santé du COVID-19 a été dévastateur, tuant des millions de personnes et provoquant des symptômes durables pour beaucoup qui survivent. Il a exercé une pression immense sur les services de santé, qui étaient souvent déjà surchargés avant la pandémie.

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L'espérance de vie a chuté dans la plupart des pays pendant la pandémie, la détresse mentale a augmenté et de grandes inégalités en matière de santé persistent.

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Le tabagisme, la consommation d'alcool, une alimentation malsaine, le manque d'activité physique et l'obésité sont à l'origine de nombreuses maladies chroniques et augmentent le risque de décès par COVID-19.

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Malgré la couverture sanitaire universelle dans la plupart des pays de l'OCDE, des obstacles à l'accès subsistent, le COVID-19 perturbant les soins de santé pour les personnes ayant d'autres besoins.

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La qualité des soins s'améliore en termes de sécurité et d'efficacité, et une plus grande attention est accordée aux résultats et aux expériences rapportés par les patients.

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Avant le COVID-19, les dépenses de santé s'élevaient à 8,8 % du PIB en moyenne dans les pays de l'OCDE. Avec le début de la pandémie, de fortes augmentations des dépenses de santé se sont produites dans de nombreux pays, notamment en Europe.

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Le nombre de médecins et de personnel infirmier a augmenté au cours de la dernière décennie dans presque tous les pays de l'OCDE, mais des pénuries persistent. Ces pénuries ont été mises en évidence pendant la pandémie.

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Les produits pharmaceutiques représentent en moyenne environ un sixième des dépenses de santé. L'adoption accrue des génériques et des biosimilaires peut accroître le rapport qualité-prix dans les systèmes de santé.

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Les systèmes de santé doivent s'adapter pour répondre aux besoins d'une population vieillissante, notamment une demande accrue de soins de longue durée à forte intensité de main-d'œuvre et de soins mieux intégrés et centrés sur la personne.

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