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Maroc


  • 10-juillet-2017

    Français

    Projet d’appui de l’OCDE pour la gestion des risques au Maroc

    Suite à la publication de l’Étude de l’OCDE sur la Gestion des Risques au Maroc, les autorités marocaines sous l’égide du Ministère de l’Intérieur (MI) et du Ministère des Affaires Générales et de la Gouvernance (MAGG), ont souhaité mobiliser l’expertise du Forum de Haut Niveau sur les Risques de l’OCDE pour les accompagner dans la mise en œuvre des recommandations élaborées dans la publication.

  • 9-novembre-2016

    Français

    Étude de l'OCDE sur la gestion des risques au Maroc

    L’étude de l’OCDE sur la gestion des risques au Maroc analyse l’action d’acteurs multiples, allant du gouvernement central, des collectivités territoriales, des organes de recherche, du secteur privé et de la société civile, en faveur d’une gestion efficace des risques majeurs. Elle porte une attention particulière aux questions de gouvernance, de coordination et d’inclusion.  Son analyse prend en compte l’ensemble du cycle de gestion des risques (évaluation des risques, prévention et atténuation, réponse et gestion de l'urgence, et relèvement et reconstruction), et identifie les défis restant à relever pour renforcer la résilience de l’économie et de la société marocaine face aux risques.
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  • 24-juin-2016

    Français

    Renforcer l'intégrité du secteur public au Maroc

    Le Maroc est en train de réformer son cadre légal, politique et institutionnel de lutte contre la corruption et de bonne gouvernance. Cette revue fonctionnelle analyse deux institutions marocaines,  l’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC) et l'Institution du Médiateur du Royaume (IMR), dont les mandats respectifs ont été modifiés par la nouvelle Constitution de 2011 afin de renforcer leur rôle dans le système de l’intégrité du pays. Elle examine les cadres législatifs, institutionnels et politiques des institutions, et propose des recommandations afin de permettre à l’ICPC (qui deviendra la nouvelle Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption) d’assumer le plus efficacement possible son rôle. Ainsi, elle vise à permettre à l’ICPC de jouir pleinement de ses nouvelles prérogatives s’agissant de répression de la corruption. La revue permet également à ce que l’IMR, qui gère les plaintes des citoyens en rapports avec l’administration publique, puisse agir du mieux possible en vue d’altérer positivement les malversations au sein du secteur public. Le rapport analyse la place de ces deux institutions dans le cadre global de gouvernance au Maroc. Il propose des réformes pour améliorer la coopération entre les institutions publiques ainsi qu’avec les acteurs de la société civile dans l’intérêt de la population civile marocaine.
  • 28-août-2015

    Français

    Le gouvernement ouvert au Maroc

    La Revue du Gouvernement Ouvert au Maroc est la première de son genre à analyser les politiques et les pratiques de gouvernement ouvert ainsi que l’application de leur cadre institutionnel et juridique selon les instruments de l’OCDE. En rassemblant une multitude d’instruments de l’OCDE et d’expertises dans différents domaines de gouvernance publique, la revue fournit aux décideurs politiques marocains, aux fonctionnaires du secteur public et aux activistes de la société civile des indications pratiques concernant la façon d’améliorer et de mettre en œuvre avec succès leur programme national de gouvernement ouvert. De plus, la revue contient une liste de recommandations sur laquelle il est possible de s'appuyer pour construire le Plan d'Action du Maroc pour le Partenariat pour un gouvernement ouvert.
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